• Les mauvaises raisons

    Vous le savez bien, les limites qu’on s’impose à soi-même sont celles qui sont les plus difficiles à franchir. D’autant que le plus souvent, nous n’avons pas conscience de ces limitations, ou nous leur avons trouvé des justifications tout à fait raisonnables.

    De même, nous ne maîtrisons parfois pas certains moteurs qui nous poussent à agir dans tel ou tel sens. À l’aube d’un changement de vie aussi important qu’un départ en retraite, il serait pourtant souhaitable de pouvoir faire ses choix en connaissance de cause.

    Aussi, si vous avez l’impression que vos actions sont pilotées par l’une ou l’autre des phrases ci-dessous, interrogez-vous sur vos vraies raisons. Et demandez-vous si les décisions qui en découlent correspondent vraiment à celles que vous souhaitez prendre !

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    -> Je ne veux pas changer.

    -> Je suis très bien comme ça.

    -> De toute façon, je ne vais pas changer à mon âge !

    -> Ils n’ont qu’à me prendre comme je suis !

    -> Il n’y a que moi qui sait faire !

    -> Si je n’étais pas là, …

    -> Je dois m’occuper de tout.

    -> Il y a urgence !

    -> C’est pas la peine d’essayer …

    -> J’ai peur que …

    -> J’ai peur de …

    -> Tous des cons !

    -> Je vais pas me gêner pour …

    -> Ne pas faire mieux que maman (ou papa) !

    -> Ne pas faire comme maman (ou papa) !

    -> Papa (Maman) aurait voulu que …

    -> Après moi le déluge …

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    Vous pouvez bien sûr ajouter vos propres mauvaises raisons, celles que vous connaissez très bien, et celles que vous pouvez identifier si vous y pensez un peu.

     

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